5 vrais superaliments à connaître absolument

Chère lectrice, cher lecteur,

Ce que l’on appelle « superaliment » est un aliment très riche en nutriments (vitamines, minéraux, acides gras ou antioxydants). Cela le rend exceptionnellement bon pour la santé.

Mais aujourd’hui les superaliments c’est devenu une arnaque à grande échelle !

Tout est « superaliment » pour peu que ça rapporte de l’argent !

Même la grande industrie agro-alimentaire s’y est mise, empochant des milliards avec des produits chers, qui bien souvent ne vous apportent quasiment rien… et peuvent même se révéler toxiques !

Comment s’y retrouver parmi les superaliments présumés (les vrais / les faux), tous ces fruits, épices, algues aux noms exotiques… et savoir ce qui est vraiment bon pour vous ?

J’ai appelé l’expert en nutrition Jean-Paul Curtay, qui connaît parfaitement le sujet.

  • Il y a bien de « vrais » superaliments, explique-t-il ;
  • Il faut néanmoins être guidé pour en acheter des fiables ;
  • Il faut aussi savoir « comment » les manger pour profiter au mieux de leurs bienfaits ;
  • Il faut se méfier de certains faux superaliments potentiellement dangereux pour votre santé !

Chlorella, spiruline : lisez ceci d’urgence

Les algues chlorella et spiruline sont peut-être les plus connues.

À en croire certains vendeurs, elles vous apporteraient tous les nutriments dont vous avez besoin.

Le problème, explique Jean-Paul Curtay, c’est que la plupart de ces nutriments se trouvent sous une forme mal assimilée par votre organisme.

Ils se gardent bien de vous dire par exemple que :

  • Le fer végétal de la chlorella et de la spiruline n’est pas le même que le fer animal des viandes ou des poissons. Le fer végétal est une forme oxydée, vous n’en absorbez que 5% à 10%, contre 25% pour les viandes.[1] [2]
  • La vitamine A de ces algues… n’est pas de la Vitamine A: c’est en réalité du bêta-carotène, un précurseur de la vraie vitamine A. Près de 45% de la population absorberait mal le bêta-carotène, ce qui n’en fait pas une source fiable de vitamine A[3] [4] ;
  • Leur vitamine B12 est en réalité quasi-inutile: une étude a analysé l’absorption de la vitamine B12 dans la chlorella et la spiruline. Elle a trouvé que sous cette forme elle était quasiment inactive ![5]

Et il faudrait allonger la liste…

Certains disent aussi que la chlorella et la spiruline sont chélatrices : elles auraient la capacité de se lier aux métaux lourds pour les évacuer de votre corps.

Mais… des analyses récentes en laboratoire ont montré que ces deux algues sont bien souvent contaminées elles-mêmes par… des métaux lourds !

Je n’invente rien, les tests auxquels je fais référence[6] ont prouvé la présence d‘aluminium, d‘étain, d‘arsenic, de plomb et même de mercure dans des dizaines d’échantillons. Un comble pour des aliments annoncés comme chélateurs

Enfin mentionnons que certains échantillons étaient contaminés par des toxines et des bactéries pathogènes… On aurait enregistré ainsi plusieurs cas d’empoisonnements à la chlorella et la spiruline[7].

Un autre « superaliment » présumé peut poser problème…

La supercherie de l’huile de coco

C’est l’huile de coco. Elle a été propulsée au rang de superaliment avec la médiatisation du régime cétogène, le régime à la mode sans glucides et riche en graisses.

Surpoids, diabète, cancers, maladie d’Alzheimer… le régime cétogène est parfois présenté (à tort) comme la solution à tous les problèmes…

Pourtant, saviez-vous que l’huile de coco, souvent recommandé en régime cétogène, contient plus de 90% de graisses saturées, bien davantage que le beurre ?

C’est même l’une des graisses les plus difficiles à brûler.

Pour Jean-Paul Curtay, la mode de l’huile de coco est aberrante. Afin de rétablir la vérité il a fouillé dans la littérature scientifique et lu toutes les études sur le sujet. Puis il a consigné ses observations et a établi :

  • Que l’huile de coco ralentit votre métabolisme et vous fait plus facilement grossir (alors que certaines bonnes huiles la remplacent avantageusement) ;
  • Que bien souvent le régime dit cétogène pourrait favoriser les maladies qu’il prétend combattre. Et pourquoi personne n’a intérêt à ce que vous le sachiez ;

Les vrais superaliments pour lutter contre certaines maladies

Heureusement de vrais superaliments existent. Mais ce ne sont pas toujours ceux qu’on voit au-devant de la scène !

Il existe un thé susceptible de vous accompagner dans la lutte contre :

  • Le diabète ;
  • Le cancer ;
  • Le stress ;
  • Les AVC ;
  • Le surpoids ;
  • Et qui pourrait même vous aider contre la maladie d’Alzheimer… ?

À poids égal, une infusion de ce thé serait 137 fois plus bénéfique qu’un thé vert classique ![8]

Il contient en effet 137 fois plus de polyphénols qu’un simple thé vert.

Les polyphénols sont parmi les molécules antioxydantes les plus puissantes que l’on connaisse.[9] Elles se trouvent surtout dans les végétaux et permettent de lutter contre le vieillissement prématuré de tous nos organes.

Ce n’est pas tout. Ce thé vert est aussi très riche en tanins. Cela lui permet d’agir contre le surplus de fer dans votre intestin et de mieux l’évacuer par les voies naturelles, c’est capital si vous en consommez trop sans le savoir, si vous utilisez souvent une poêle en fer par exemple.

Car le fer est un agent inflammatoire méconnu, qui peut dans certains cas contribuer au développement des cancers.[10]

Jean-Paul Curtay connaît les secrets de ce thé exceptionnel :

  • Comment l’intégrer facilement à tous vos plats ;
  • La meilleure façon de le préparer pour absorber le maximum de polyphénols ;
  • Le meilleur moment où le déguster pour profiter de ses bienfaits ;

Je vais vous dire dans un instant comment accéder à ces conseils.

Le cocktail d’antioxydants pour soutenir votre cœur

Il existe aussi des fruits qui contiennent des tonnes de ces polyphénols bienfaiteurs.

Jean-Paul Curtay évoque notamment un fruit surprenant dix fois plus riche en polyphénols que le vin rouge et le thé vert.

Ce fruit a la particularité de contenir de nombreuses sortes de polyphénols. Or plus il y a de polyphénols différents dans un aliment, meilleur c’est pour la santé. Car les différents polyphénols ont un effet de synergie entre eux !

De nombreux chercheurs se sont intéressés à ce fruit et ont pu établir qu’il :

  • Favoriserait la perte de poids[11];
  • Contribuerait à soutenir les artères et le cœur[12];
  • Lutterait contre l’impuissance sexuelle (chez l’homme)[13];
  • Aiderait la lutte contre certaines maladies graves : diabète, pneumonies…[14]  ;

Il y a quelques astuces pour le consommer que vous lirez dans un dossier spécial de ma revue Secrets de Nutrition.

Jean-Paul Curtay vous y dévoile par exemple :

  • La forme sous laquelle ce fruit est le plus riche en polyphénols
  • Le principal inconvénient de ce fruit en jus (et comment le contrer !)
  • Comment choisir ce fruit en complément alimentaire pour qu’il soit le plus efficace possible

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En obtenant ce dossier spécial vous allez pouvoir profiter d’autres vertus des vrais superaliments :

  • L’épice suave et amère qui pourrait vous aider à lutter contre plus de 20 maladies ;
  • L’antidépresseur naturel savoureux (sans effets secondaires connus !)
  • Le meilleur type de confiserie pour… perdre du poids !
  • La cerise exotique qui pourrait vous aider à lutter contre les troubles cardiovasculaires ;
  • 3 épices dont tout le monde ignore les vertus ;

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Bien à vous,

Gaëlle Scrive

PS : Si vous ne connaissez pas Secrets de Nutrition, sachez que cette revue mensuelle de 16 pages réunit les nouvelles découvertes de la médecine naturelle validées par la recherche scientifique. Elle se lit de façon simple et agréable, même si vous n’avez aucune formation médicale ou scientifique.

Chaque mois, un problème de santé est traité de façon systématique : mes lecteurs reçoivent les informations complètes sur les techniques naturelles qui accompagnent contre certaines maladies, avec une proposition de supplémentation créée par un expert.

Je parle surtout des maladies graves et invalidantes : la fibromyalgie, la dépression, l’arthrose, le diabète, la sclérose en plaque, les maladies cardiovasculaires et même le cancer, qui tuent, comme le coronavirus, des milliers de personnes par jour.

« Tes aliments seront tes remèdes »

Nous croyons que pour aider l’organisme à lutter contre les maladies, la première étape est de lui apporter des aliments sains et des nutriments ciblés.

Cette science s’appelle la nutrithérapie, et les chercheurs avant-gardistes la considèrent comme la médecine qui va révolutionner le troisième millénaire.

Pour comprendre l’importance de la nutrithérapie aujourd’hui, il faut d’abord savoir que, depuis 1950, le régime alimentaire des populations occidentales s’est dramatiquement appauvri.

Les légumes et les fruits frais que l’on mange aujourd’hui n’ont plus la même richesse nutritionnelle qu’avant.[15] Et ce n’est pas étonnant : les sols, autrefois riches en minéraux, ont été épuisés par les méthodes modernes d’agriculture intensive.[16]

Selon Santé publique France, plus de 80 % des Français ne consomment pas assez de fibres et d’oméga-3, et mangent trop de graisses saturées et de sel.[17]

De nombreux cas de diabète, d’hypertension, de dépression seraient donc aggravés par le manque de nutriments et par la consommation d’aliments néfastes à la santé.

Mais malheureusement, souvent par manque de formation, les médecins actuels essayent de « soigner » ces maladies par des médicaments chimiques parfois agressifs qui épuisent encore plus les réserves de l’organisme.

La médecine doit être douce

Par exemple, l’aspirine est efficace contre beaucoup de douleurs… mais elle abîmerait la paroi de l’estomac.[18] Elle pourrait provoquer de graves saignements, parfois même des ulcères dans votre système digestif.[19]

La cortisone réduit les inflammations, mais elle stimulerait aussi les infections. À long terme, elle pourrait provoquer de l’ostéoporose, du diabète, des dérèglements hormonaux, des gonflements sur le visage ou encore des problèmes de peau.[20]

Les antibiotiques vont tuer certains germes… mais ils ravagent la flore intestinale.[21] Ils affaiblissent le système immunitaire, et peuvent être toxiques pour le foie et les reins.[22]

Les méthodes naturelles, au contraire, exercent leurs bienfaits sur l’ensemble de votre corps. Lorsque, par exemple, vous prenez de la vitamine D pour renforcer vos os, vous comblez aussi des carences importantes qui augmenteraient vos chances d’éloigner de graves maladies telles que le cancer, comme le signalent de plus en plus d’études scientifiques.[23]

Les oméga-3, qui lutteraient contre le risque cardiovasculaire, amélioreraient aussi le moral (effet « anti-dépresseur ») et réduiraient la dégénérescence maculaire, peut-être une de vos inquiétudes personnelles si vous avez plus de 60 ans.[24]

Mais attention : ces substances, mêmes si elles sont naturelles, ne doivent jamais être utilisées imprudemment.

Dans tous les cas, et en particulier si vous êtes sous traitement médical, vous devez demander l’avis de votre médecin avant d’entreprendre une supplémentation.

Parce que la plupart des produits naturels contiennent malgré tout des principes actifs.

Ils n’ont généralement pas d’effet indésirable, mais le risque d’interaction et de surdosage est toujours présent.

C’est pourquoi Secrets de Nutrition vous guident pour utiliser, de façon ciblée, des vitamines, des minéraux, des oligo-éléments et des acides aminés :

  1. Pendant la crise du coronavirus qui nous touche, c’est par exemple une bonne idée de combler vos carences en vitamine D ou en zinc ;
  2. Maux de tête et migraines : le magnésium et la vitamine B2 peuvent faire une différence importante ;
  3. Hypertension : essayer d’augmenter vos apports de potassium et diminuer ceux de chlorure de sodium ;
  4. Perte de cheveux : la vitamine D, la glutamine, la cystine pourraient vous aider ;
  5. Fonctions mentales :  agissez contre le déclin cognitif lié à l’âge avec deux substances naturelles, l’acétyl-L-carnitine et la choline.

Et si vous prenez des médicaments contre le cholestérol (statines), pensez à prendre de la coenzymeQ10 pour augmenter votre énergie cellulaire, renforcer vos tissus musculaires (en particulier votre cœur) et lutter contre les pertes de mémoire (effet secondaire fréquent des statines[25]).

Ce ne sont que de petits exemples.

En lisant Secrets de Nutrition, vous recevrez chaque mois les recommandations de supplémentation des meilleurs experts de la nutrithérapie concernant les problèmes de santé les plus variés : des maladies cardiovasculaires au cancer, en passant par les problèmes de prostate, de ménopause, les maux de tête, les acouphènes, l’insomnie, Parkinson, Alzheimer, les problèmes gastriques et les problèmes de peau. Tous les domaines de la santé sont concernés.

Mais attention : n’allez pas croire que la santé naturelle moderne consiste à vous imposer des régimes contraignants, des compléments par dizaines et des aliments sans saveur et difficiles à avaler.

Bien au contraire. La notion de goût, est aussi fondamentale. Les dernières études prouvent qu’avant même de prendre le moindre complément alimentaire naturel, vous rendriez déjà service à votre corps en mangeant tout simplement… plus de bonnes graisses.

Ces bonnes graisses multiplient les pouvoirs des superaliments

Depuis 40 ans, les pouvoirs publics essaient de persuader la population que les graisses alimentaires sont l’ennemi public n°1.

Cette allégation n’est pas confirmée par les recherches scientifiques. Au contraire, elles indiquent que vous devriez, selon toute probabilité, augmenter votre consommation de bonnes graisses[26] !

Les superaliments que je vous ai présentés plus haut, par exemple, contiennent un certain nombre de nutriments appelés « liposolubles ».

Cela signifie que leurs vitamines naturelles A, D, E, K… ne peuvent correctement s’assimiler dans votre organisme qu’en présence de graisses !

Cela est aussi simple, quand vous faites une « soupe froide » contenant un ou plusieurs superaliments, de manger une poignée de noix à côté.

Ces bonnes graisses (Huile de colza, huile de lin, poissons gras, noix…) participeraient à réduire la mortalité cardiovasculaire.[27] Si vous manquez de ces graisses, vous pourriez au contraire augmenter votre risque de maladie et de dépression.

Plusieurs huiles feraient même baisser votre taux de cholestérol.[28]

Il est vrai qu’à première vue, vous allez penser que ces recommandations sont étonnantes. Et pourtant : en lisant Secrets de Nutrition, vous vous apercevrez que l’essentiel de ce qu’on lit et entend depuis 40 ans sur les graisses est totalement contraire à la vérité scientifique.

Savez-vous que la population américaine n’a cessé de diminuer sa consommation de graisses depuis 1975 ? Cela n’a pas empêché une explosion des problèmes d’obésité, des maladies cardiovasculaires, du diabète, des cancers…[29]

Aujourd’hui, la recherche la plus en pointe sur les corps gras a démontré leur effet bienfaisant et indispensable à de nombreux processus biologiques. En lisant Secrets de Nutrition, vous apprendrez à choisir vos huiles et à adapter votre façon de cuisiner pour que les graisses que vous consommez vous aident à gagner des années de longévité avec un corps et un cerveau en pleine forme.

Secrets de Nutrition ne censurent aucune recherche médicale

Vous pouvez recevoir chez vous, chaque mois, un numéro entier de Secrets de Nutrition rempli à ras bord d’informations capitales pour votre santé, en vous abonnant aujourd’hui.

Mais attention, Secrets de Nutrition n’est pas pour tout le monde.

S’abonner à Secrets de Nutrition, c’est aussi un acte de résistance contre les dogmes du « médicalement correct ». Publication libre et indépendante, la seule préoccupation de Secrets de Nutrition est l’objectivité scientifique et l’amélioration de votre santé.

Vous y trouverez des articles rigoureux sur toutes les branches de la recherche actuelle « alternative », comme les travaux de l’Institut Linus Pauling sur les intraveineuses de vitamine C contre les maladies cardiovasculaires et le cancer.

Bref, nous parlons ouvertement des recherches qui sont aujourd’hui menées dans une extrême discrétion par des médecins peut-être trop en avance sur leur temps.

Et nous savons que cela peut choquer certains. Mais nous considérons comme tout aussi important de protéger nos lecteurs contre les fausses rumeurs :

Protégez-vous contre les médias en mal d’audimat

En ce moment, pas un jour ne s’écoule sans que les médias remettent en question l’utilité de solutions naturelles dont on se sert depuis des siècles, simplement parce qu’elles n’ont pas été « approuvées » par les gouvernements et instances internationales, elles-mêmes dépassées par les événements.

Quand certains médias s’attaquent à la vitamine C, à la vitamine D, au zinc… Pour simplement vous dire de « vous laver les mains ». C’est embêtant.

Bien souvent, derrière les gros titres des journaux, se cachent des agences de communication et de « public relations », financées par des lobbies industriels pour détruire des concurrents.

Cela peut aussi être des labos cherchant à vendre des médicaments. Ou tout simplement un moyen pour les médias de faire plus d’audience.

Pour chaque sujet traité, Secrets de Nutrition vous garantit que vous aurez les tout derniers résultats de la recherche scientifique, validés par les professionnels de la santé les plus en pointe dans le monde entier sur les nouvelles solutions naturelles.

Secrets de Nutrition va chercher pour vous dans plus de 150 publications spécialisées les résultats les plus prometteurs, et peut se référer à des spécialistes dans 120 pays.

Il vous coûterait plusieurs centaines d’euros de vous abonner à une seule de ces revues scientifiques (sans compter le temps perdu à décortiquer les articles : 95 % des publications scientifiques sont dénuées de toute information nouvelle de toute façon…). Mais les « pépites » qui surgissent régulièrement çà et là dans ces revues sont extraites pour vous par notre équipe et vous sont aussitôt transmises de façon claire et concise.

La même chose est vraie de tous les sujets couverts par Secrets de Nutrition.

Vous recevez des informations qui vous coûteraient des centaines d’euros chaque année, que vous auriez besoin de compiler pendant des heures – si vous deviez les réunir vous-même.

Agréable à lire

Et si vous n’avez aucune notion de médecine ni de biochimie, c’est une raison de plus de vous abonner à Secrets de Nutrition : malgré sa rigueur scientifique, notre revue est spécialement prévue pour les personnes qui n’ont pas de formation médicale avancée.

Chaque fois qu’une solution naturelle est présentée, Secrets de Nutrition vous indique précisément où la trouver, sous quelle forme la prendre, à quelles quantités, quels intervalles, pendant combien de temps, et les résultats à en attendre.

Sans jamais recourir à des mots compliqués.

Encore une fois, ces résultats ne sont pas garantis ; les êtres humains ne sont pas des machines, et toute personne qui vous prétendrait qu’elle a la solution pour vous à 100 % doit malheureusement être considérée comme non fiable.

Toutefois, il n’y a pas de raison valable de vous priver a priori d’une information qui pourrait avoir une importance décisive pour vous.

Car la nature regorge de trésors insoupçonnés et chaque année apporte son lot de nouvelles découvertes.

Vous abonner à Secrets de Nutrition, c’est enfin une façon de soutenir la diffusion d’informations sur la santé naturelle au plus grand nombre.

Si vous appréciez notre travail et que vous souhaitez nous aider à continuer, abonnez-vous dès aujourd’hui à Secrets de Nutrition pour des informations complètes sur les maladies et recevez immédiatement votre dossier sur les superaliments.

Sources :

[1] Uzel C, Conrad ME. Absorption of heme iron. Semin Hematol. 1998 Jan;35(1):27-34.

[2] https://www.consoglobe.com/fer-animal-fer-vegetal-difference-absorption-cg

[3] https://www.xcode.life/23andme-raw-data/beta-carotene-conversion-vitamin-a/

[4] Marjorie J Haskell, The challenge to reach nutritional adequacy for vitamin A: β-carotene bioavailability and conversion—evidence in humans, The American Journal of Clinical Nutrition, Volume 96, Issue 5, November 2012, Pages 1193S–1203S, https://doi.org/10.3945/ajcn.112.034850

[5] DAGNELIE, Pieter-C., VAN STAVEREN, Wija A., et VAN DEN BERG, Henk. Vitamin B-12 from algae appears not to be bioavailable. The American journal of clinical nutrition, 1991, vol. 53, no 3, p. 695-697.

[6] Saavedra R, Muñoz R, Taboada ME et al., Comparative uptake study of arsenic, boron, copper, manganese and zinc from water by different green microalgae, Bioresour Technol, 2018 Apr 26;263:49-57. doi: 10.1016/j.biortech.2018.04.101.

[7] Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail, Avis relatif aux « risques liés à la consommation de compléments alimentaires contenant de la spiruline », 4 août 2017, www.anses.fr

[8] Weiss DJ, Anderton CR. Determination of catechins in matcha green tea by micellar electrokinetic chromatography. J Chromatogr A. 2003 Sep 5;1011(1-2):173-80.

[9] Pham-Huy LA, He H, Pham-Huy C. Free radicals, antioxidants in disease and health. Int J Biomed Sci. 2008 Jun;4(2):89-96. PMID: 23675073; PMCID: PMC3614697.

[10] Fischer-Fodor E, Miklasova N, Berindan-Neagoe I, Saha B. Iron, inflammation and invasion of cancer cells. Clujul Med. 2015;88(3):272-7. doi: 10.15386/cjmed-492. Epub 2015 Jul 1. PMID: 26609256; PMCID: PMC4632882.

[11] Carol S. Johnston (2005) Strategies for Healthy Weight Loss: From Vitamin C to the Glycemic Response, Journal of the American College of Nutrition, 24:3, 158-165, DOI: 10.1080/07315724.2005.10719460

[12] Ye Z., et al, « Antioxidant vitamins intake and the risk of coronary heart disease: metaanalysis of cohort studies », Eur J Cardiovasc Prev Rehabil, 2008; 15 (1): 26-34

[13] Hemilä H., et al., « Vitamin C for preventing and treating pneumonia », Cochrane Database Syst Rev, 2013

[14] Hanamura  T.,  et  al.,  «  Antihyperglycemic  effect  of  polyphenols  from  Acerola  (Malpighia  emarginata  DC)  fruit  »,  Biosci Biotechnol Biochem, 2006, 70 (8): 1813-20

[15] Guéguen L., La valeur nutritionnelle des aliments a t-elle diminué depuis 60 ans ?, Académie d’Agriculture de France, 2017

[16] Guéguen L., Guérillot-Vinet S., 1966. Influence des conditions de production, de récolte et de stockage sur la composition chimique des céréales ; répercussion des variations sur la valeur nutritionnelle : matières minérales. Ann. Nutr. Alim., 20, 235-240

[17] Santé publique France, « L’essentiel des recommandations sur l’alimentation », mis à jour le 12 octobre 2019, consulté le 16 janvier 2020, disponible sur www.santepubliquefrance.fr

[18] Cryer, B., & Mahaffey, K. (2014). Gastrointestinal ulcers, role of aspirin, and clinical outcomes: pathobiology, diagnosis, and treatment. Journal of Multidisciplinary Healthcare, 137. doi:10.2147/jmdh.s54324

[19] THIEFIN Gérard, Toxicité digestive de l’aspirine à faible dose, p 229, Gastroentérologie Clinique et biologique, volume 25, n°3 juillet 2001

[20]  « Cortisone : le diabète comme effet secondaire ? », mis à jour le 23 mai 2017, consulté le 16 janvier 2020, disponible sur www.medisite.fr

[21]  Zhang, S., & Chen, D.-C. (2019). “Facing a new challenge: the adverse effects of antibiotics on gut microbiota and host immunity”. Chinese Medical Journal, 132(10), 1135–1138. doi:10.1097

[22] Pannu N, Nadim MK. An overview of drug-induced acute kidney injury. Critical Care Medicine. 2008 Apr;36(4 Suppl):S216-23.

[23] Budhathoki, S., Hidaka, A., Yamaji, T., Sawada, N., Tanaka-Mizuno, S., Kuchiba, A., … Iwasaki, M. (2018). Plasma 25-hydroxyvitamin D concentration and subsequent risk of total and site specific cancers in Japanese population: large case-cohort study within Japan Public Health Center-based Prospective Study cohort. BMJ, k671. doi:10.1136/bmj.k671

[24] Christen, W. G. (2011). Dietary ω-3 Fatty Acid and Fish Intake and Incident Age-Related Macular Degeneration in Women. Archives of Ophthalmology, 129(7), 921

[25] C. Brosteaux, J. Ruiz, T. Buclin, T. Kuntzer, N. Rodondi, Statines et effets indésirables musculaires, Revue Médicale Suisse, 2010, volume 6, 510-517

[26] Liu, A. G., Ford, N. A., Hu, F. B., Zelman, K. M., Mozaffarian, D., & Kris-Etherton, P. M. (2017). A healthy approach to dietary fats: understanding the science and taking action to reduce consumer confusion. Nutrition Journal, 16(1). doi:10.1186/s12937-017-0271-4

[27] J. Le Boudec et all., Comment diminuer son risque cardiovasculaire avec l’alimentation ? Rôle des graisses consommées, Revue Médicale Suisse 2014, volume 10, p  532-538

[28] « Les huiles végétales réduisent le cholestérol mais pas le risque cardiovasculaire », Europe 1 avec AFP, europe1.fr, avril 2016

[29] Beresford, S. A. A., Johnson, K. C., Ritenbaugh, C., Lasser, N. L., Snetselaar, L. G., Black, H. R., … Whitlock, E. (2006). Low-Fat Dietary Pattern and Risk of Colorectal Cancer. JAMA, 295(6), 643. doi:10.1001